
C’est comme la mer sauf que ça ne l’est pas. Des étendues de cendres qui ne s’assombrissent pas. J’ai faim du rien et quand il arrive, je suis malade. C’est que. Les géants m’intimident. Et je préfère la solitude aux grands. Quand je m’assoupis sur ton bras. Et qu’il m’enveloppe de sa douceur velours. Je me laisse aller. Et je vois le blanc se recroqueviller sur lui-même. Autour de moi.
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